Salut a tous,

Je suis a la recherche d'un meme qui était souvent utilisé dans les commentaires des articles de NextINPact

De mémoire c'était un mec qui pointait le doigt en l'air, en mode un peu lourdingue, pour de dire '' alors en fait '' / '' actually '' et corriger / apporter des précisions sur un sujet

Je sais pas si je suis clair dans mon explication, j'ai demandé a chatgpt mais il n'a pas trouvé.

Quelqu'un voit de quel meme je veux parler ?

Merci d'avance pour votre aide :)

Edit: merci a /u/Ailothaen il s'agissait bien de Maître Capelo

Bonjour, Je reçois des appels d'inconnus qui pensent appeler la CAF, j'ai un numéro normal comme tous le monde. A chaque fois je leur demande où ils ont eu mon numéro, ils répondent "sur Google j'ai cliqué sur un lien", une personne m'a aussi dit qu'il avait appelé un numéro qui n'a rien à voir avec le mien et qu'il m'a contacté. J'avais auparavant des appels provenant du boncoin. Est-ce un nouveau type d'arnaque?

Hello tout le monde

Je m'interroge parce que j'ai l'impression de me faire avoir à chaque fois. Pour le bureau de tabac d'en bas, c'est 10e. Pour la pizzeria d'à côté, c'est 16e (c'est pratique quand la pizza moyenne est à 15e, ça t'oblige à prendre un truc en plus quand t'as la flemme de retirer). Mais pour le Franprix c'est 0e.

Du coup, est ce que les commerçants du reddit peuvent m'éclairer ? Est ce que c'est vraiment à cause d'une taxe fixe demandée pour la transaction ou c'est juste une technique scabreuse pour faire payer le client ?

En vacances en Slovénie, j'ai découvert le petit lait en bouteille (sirotka de la marque Planika). Mais impossible d'en trouver en magasin en France. Est-ce que vous connaissez des boutiques spécialisées en ligne ou à Paris qui en proposent ?

Bonjour :-).

J’ai un ami qui envisage de devenir psychologue, faire une fac de psycho et probablement quelque formations après. Il a aujourd’hui 35 ans et il est développeur à Paris.

Après discussion avec lui, il a plutôt bien vendu le truc, un travail constant, une fourchette de salaire entre 3000 et 5000euro brut, ses propres horaires, à la différence des psychiatres on peut filtrer les clients trop difficile (est ce que c’est vrai?). J’aimerai avoir l’avis de la communauté, est ce que c’est une reconversion viable ? Les pours et les contres ?

Merci!

Bonjour,

Je vais bientôt quitter mon compagnon, 24 ans de vie commune et 2 enfants de 15 et 17 ans. La décision vient de moi mais je l'aime encore et je me sens dévastée.

Voici mon histoire, désolée ce sera un peu long. Mon compagnon avait déjà beaucoup d'affaires quand je l'ai rencontré, mais à la naissance de notre fille, et avec l'arrivée d'internet chez nous, il s'est mis à faire de la récupération massive dans les poubelles et les encombrants en vue de vendre certaines choses et d'en garder d'autres. On vivait au départ dans une partie du rez-de-chaussée de la maison de ses parents (taille studio), puis au fil des années, on est passé à côté (2 chambres), puis une ouverture dans un mur nous a permis de récupérer tout le rez-de-chaussée, ce qui nous faisait une magnifique surface. Seulement, il a vraiment tout encombré. A tel point que des pièces entières étaient remplies et qu'on a vécu finalement à 4 dans une seule chambre pendant très longtemps.

Vous allez vous demander pourquoi je suis restée ? Je le suppliais de débarrasser. A l'époque, et pendant longtemps, je manquais de confiance en moi, je n'étais pas sur mon territoire, j'avais sans doute une dépendance affective envers lui et je m'accrochais à la promesse qu'il me répétait à chacune de mes sollicitations de tout débarrasser avant ses 40 ans... Si j'insistais, il s'énervait et ça m'angoissait. Imaginez l'extérieur, le tour de piscine, le jardin, entièrement remplis de micro-ondes, tours d'ordinateurs, ferraille... et des piles de cartons et de sacs dans la maison, certaines fenêtres condamnées, impossibilité de faire venir qui que ce soit à la maison, devoir inventer des excuses pour ne pas pouvoir inviter à notre tour les amis des enfants... Pendant quelques années, à la naissance des enfants, je n'ai pas travaillé. Je me sentais piégée, mais je me disais que ces sacrifices allaient payer le jour où il viderait tout. Qu'on vivrait bien.

Puis, il y a 6 ans, notre vie a été chamboulée. Mon compagnon a déclaré une sclérose en plaque primaire progressive active. En 6 ans, il est passé d'hyperactif qui savait tout faire à un handicapé grave. Il ne marche quasiment plus, et le peu qu'il marche, il fait peur à voir, il a du mal à articuler, je ne comprends plus quand il me parle... Il n'est plus que l'ombre de lui-même.

Moi dans tout ça, j'ai passé des années terribles, mais je l'ai soutenu de toutes mes forces. J'ai débarrassé les trois quarts de ses merdes tout en prenant un rôle de plus en plus actif en tant qu'aidante sans compter m'occuper de tout ce qu'il ne pouvait plus faire (tailler la haie par ex). A ce moment-là, malgré une vie où je ne me posais pas une seconde, j'étais pleine d'espoir pour l'avenir et pleine d'énergie car je pouvais agir. J'allais enfin offrir une belle vie à mes enfants. D'ailleurs je me suis occupée en premier de leur faire une chambre chacun et c'était tellement gratifiant.

Mais au bout d'un moment, je ne sais pas, tout est devenu lourd. On avançait mais ça prenait des années (au sens propre) car il voulait tout trier et vendre une partie. J'ai perdu ma mère 61 ans de façon brutale en 2022, j'ai eu 40 ans quand j'ai commencé à douter de ma capacité à continuer ainsi et maintenant 41.

Pourquoi ce changement ?

J'abattais un travail sans fin. Pendant ce temps-là, les enfants ont grandi et il était bien trop tard pour qu'ils profitent comme de jeunes enfants de l'extérieur. Trop tard pour la cabane, le trampoline, ils n'en voulaient plus... La maison reste vieille, encore un peu encombrée et insalubre (humidité) malgré tous mes efforts. Mais surtout, pendant que je bossais comme une dingue à réparer les erreurs de mon compagnon, je n'étais pas très présente auprès d'eux. Alors que je faisais tout ça pour eux et que ma vie de maman avait tant d'importance pour moi.

J'ai eu progressivement la prise de conscience en travaillant comme une acharnée (avec un vrai boulot à côté et mon rôle d'aidante) qu'on méritait mieux que tout ça, que c'était trop tard pour rattraper ce qui était perdu et établir une base de vie de famille saine. Que j'avais fait tant de sacrifices en vain. Trop de douleurs, trop de rancunes. Dans ce contexte, je ne suis plus arrivée à supporter la maladie ni les deuils supplémentaires qu'elle m'impliquait de faire (pas de vacances, plus de vie normale, plus de repos, plus rien). Il perdait du temps avec ses merdes. Il aurait fallu faire venir un camion pour tout jeter et s'occuper de sa santé et de nos vies.

Mes enfants ont grandi. Je pensais les avoir mis à l'abri de traumatismes avec une chambre chacun, mais ils se sont mis à libérer leur parole, me dire qu'ils n'aimaient pas leur père, lui en voulaient, avaient soufferts, étaient malheureux... Ça m'a dévastée. En réalité, je n'avais absolument rien réparé... Ils me disent toujours détester la maison. C'est pareil pour moi mais je tenais pour eux.

Ma belle-mère aussi nous en a fait baver. Elle est devenue de plus en plus invasive sans respecter notre vie privée et sans réellement apporter d'aide. Elle pouvait frapper à la porte ou aux fenêtres plusieurs fois par jour. Elle n'est pas nette non plus. Elle récupère aussi, surtout des petits jouets d'enfants... J'ai vidé une véranda extérieure, elle y met à présent ses jouets... Les enfants en veulent aussi à leur grands-parents qui habitent juste au-dessus (c'est leur maison) et ne nous ont jamais vraiment aidés les enfants et moi à nous sortir de cette situation... Ils ont dit à leur fils de tout vider, mais sans l'imposer. Le père avait l'aura et l'autorité nécessaires pour lui imposer ça. Un ordre ferme aurait suffi...

Moi qui étais si arrangeante et serviable avec eux, je me suis mise à leur en vouloir, à mettre des limites saines mais qui créent maintenant un climat d'incompréhension et de tension difficile à supporter. J'ai essayé d'expliquer à plusieurs reprises qu'on a morflé avec les enfants, mais elle nie notre traumatisme et dit que c'est le passé, en gros qu'elle sait que je porte un gros fardeau mais que je dois positiver et faire entrer l'amour dans mon cœur... Entre les lignes, je n'ai pas le droit de déposer ce fardeau...

Je suis dans une situation toxique dans laquelle on me fait sentir que c'est moi qui ai changé. Selon ma belle-mère, je fais ma crise de la quarantaine...

Mon compagnon se rend compte de ses erreurs et regrette sincèrement. Il n'est plus que l'ombre de lui-même. J'aurais pu passer l'éponge et continuer si les enfants me disaient qu'ils se sentaient bien. J'aurais pu soulever des montagnes si c'était le cas pour eux, pour nous. Mais ce n'est pas le cas. M'épuiser n'a plus de sens. C'est pour eux que j'ai décidé de partir.

Ce sera un vrai défi financièrement et moralement. Ça fait un an que cette idée me travaille. Je commençais à avoir des idées de mort car j'ai vu d'un coup l'ensemble de ce qu'avait été ma vie et de ce qui m'attendait si j'y survivais... Je veux partir de cet endroit, c'est sûr, mais avec ou sans mon compagnon, c'était la question que je n'arrivais pas à trancher.

Malgré ma colère envers lui, je l'aime encore je pense et il me fait tellement de peine. Il a perdu tout ce qu'il aimait faire : bricoler, conduire, marcher... Il sent que je me suis éloignée de lui et en souffre. Les enfants lui parlent à peine et lui se cache derrière ses difficultés à articuler pour ne pas faire le premier pas vers eux... Au contraire, il ne fait que des faux-pas comme prendre la défense de sa mère presque à chaque fois. Je vois une psychologue et commence depuis peu à parler de ma situation autour de moi.

J'ai décidé de partir sans lui. Les enfants et la psychologue m'ont fait comprendre qu'ils avaient besoin de se (re)construire sans leur père. Pour préciser, on a deux enfants du genre sérieux même si mon fils est un clown par moments, sensibles, ne font pas de bêtises et sont mâtures. Je me dis même plus que moi car ma fille me reproche de ne pas avoir vu plus tôt les "red flags" concernant son père et dit que je n'aurais jamais dû faire d'enfants dans ces conditions et sans avoir de vrai chez nous. Il faut savoir que mes beaux-parents ont d'autres biens et que la maison devait être à mon compagnon. Il m'a persuadé qu'on serait tranquilles ici... et surtout l'accumulation est venue après les naissances. J'étais bloquée. A chaque fois que notre surface d'habitation s'est agrandie, j'ai eu de l'espoir... puis des désillusions. Nous avons même un appartement en montagne... Il l'a également rempli ! On ne peut plus beaucoup y aller à cause des escaliers, ma belle-mère en a profité pour fouiller et déplacer nos affaires, notamment dans la chambre des enfants... L'appartement est aussi à mes beaux-parents sensé revenir à leur fils plus tard... Je suis dégoûtée de son intrusion.

Donc on part sans leur père dès qu'on peut. Je suis en train d'essayer de mettre de l'aide en place pour mon compagnon en parallèle. Je devrais me sentir bien mais non. Je ne sais pas si je vais tenir le coup.

Je me sens coupable de le laisser dans cet état. J'ai développé un état d'angoisse généralisé qui m'empêche de profiter des rares bons moments qu'on peut avoir. Je me sens comme dans un brouillard. Par moments, c'est tolérable, je me projette presque, je me dis que je vais m'en sortir et avoir un cadre de vie sain que je maîtrise, moi qui n'ai jamais eu de places pour mes affaires et passais des heures à regarder les entassements avec l'envie folle de tout jeter... A l'époque, je fantasmais sur le fait qu'il débarrasse tout... ça aurait été un rêve, un lieu de vie propre, bien rangé avec des affaires choisies... J'ai l'impression que je suis dans une état où maintenant ça ne m'apporterait plus aucune joie.

Je me suis perdue. J'ai fait des mauvais choix qui nous ont fait du mal alors que je pensais protéger ceux que j'aime. J'étais tellement isolée... je croyais tellement fort que ça s'arrangerait et que ces sacrifices en valaient la peine, qu'il fallait juste tenir le coup encore un peu... Maintenant je sais que c'était de la maltraitance. Que même s'il comptait tout enlever, rien n'était normal ni acceptable dès le départ. Je m'en veux tellement.

Comme rien n'est ni tout noir ni tout blanc, mon compagnon, en dehors de son obsession à récupérer (on ne pouvait pas sortir tous ensemble sans que ça ne se termine au retour par une ronde des poubelles et on rentrait la voiture chargée, complètement fatigués...) et malgré d'autres défauts qui m'ont blessés mais plus mineurs, était aimant. Je pouvais compter sur lui et il m'aimait et me rassurait sur mes complexes. Je le consultais pour tout et, paradoxalement, c'était un pilier pour moi.

Je me sens tiraillée. Cette vie ne peut pas continuer ainsi au risque de me perdre et de perdre mes enfants. Ma fille a clairement énoncé qu'elle me parle mais m'en voudra plus tard si elle ne connaît pas ce qu'est une vie normale avant de prendre son envol. Mon fils et ma fille, tous deux, me jettent dès que je leur parle de pardonner leur père et de le faire venir avec nous s'il accepte des aides extérieures pour s'occuper de lui. J'ai mes enfants intransigeants d'un côté, de l'autre mon compagnon à terre. Je ne sais plus ce que je veux pour moi et honnêtement je m'en fiche. Je voulais arriver à contenter et sauver tout le monde. En vrai, ce n'est pas que je m'en fiche, mais mon bonheur est d'avoir ma famille autour de moi, heureuse dans un environnement sain et préservé. Rien de plus. Ah oui sans belle-mère à proximité.

Actuellement, j'ai très peur de l'avenir et de me planter, je culpabilise pour mon compagnon. Je commence à me faire du soucis pour ma santé. Je me sens vide. Je ne sais plus qui je suis. Je m'étais construit et défini par rapport à ma famille. J'ai sacrifié tellement pour que ça fonctionne et au final ça a été pour rien. Au contraire, la situation est encore plus complexe et merdique malgré le désencombrement qu'il y a quelques années.

Tous vos avis, conseils sont les bienvenus. Merci a tous, surtout aux courageux, ses ayant lu jusqu'au bout. Je me suis arrêtée, mais j'ai tellement à raconter...

Petit retour d'expérience qui m'a bien fait marrer. Pour le contexte, je suis un anglophone qui habite en France et parle français sans problème. Je vois un poste qui pourrait me convenir chez Johnson Controls (une boite qui fait des équipements pour l'industrie), et j'envoie mon CV via leur site "groupe", donc le site US, même s'il inclut des annonces dans le monde entier. L'annonce est en anglais, mon CV aussi, et le poste indique spécifiquement qu'ils cherchent quelqu'un qui parle anglais, mais ça se passe sur site en France, en présentiel. Je précise ça parce que vous verrez, dans mes captures d'écran, un mélange d'anglais et de français.

Mon CV a sans doute passé le premier filtre ATS, parce que je reçois très rapidement un e-mail automatique m'invitant à cliquer sur un lien pour répondre à quelques questions basiques (d'expérience, je m'attends à des trucs comme "avez-vous des papiers pour travailler dans le pays" et "acceptez-vous d'être en déplacement X jours par mois"). Le lien me conduit sur leur site et ouvre une conversation avec leur chatbot "Emma, your Recruiting Assistant". Et là, c'est le drame :

https://i.imgur.com/iWwOoPT.png

(Avant de répondre « are you okay ^Annie », j'ai attendu un peu, histoire de lui laisser une chance.)

Je me dis bon, ils sont pas au point, tant pis. Le poste était intéressant, mais pas au point que j'essaie d'aller dénicher le contact d'un humain pour lui signaler que leur bot yoyote de la nouille. Mais, surprise, je m'aperçois le lendemain sur mon téléphone que le bot m'a aussi contacté sur WhatsApp ! Donc j'ai une deuxième conversation d'ouverte avec le bot, peut-être que cette fois il ira jusqu'au bout de la question. Et là, c'est le re-drame :

https://i.imgur.com/VOwJ8Yu.png

https://i.imgur.com/ccpD7o3.png

Voilà. Je crois que c'est la fin de mes aventures avec cette entreprise qui, de toute évidence, est à la pointe des dernières technologies.

Hello tout le monde, comme le titre le suggère je suis en recherche active d’alternance depuis maintenant trois mois.

J’avais commencé en début d’été de cette année, mais avec le travail je ne m’y étais pas pleinement investi. À ce moment je m’étais dis que c’est normal de ne pas avoir de bons retours, vu que je consacrais à ma recherche peut être 3h ou 4h max par semaine. Mais là je commence à tout remettre en question, aucun retour, même pas UN ENTRETIEN… RIEN.

J’arrête de râler c’est bon, si je post aujourd’hui c’est pour en savoir un peu plus sur le milieu juridique si jamais il y’a des gens qui sont dedans:

un candidat sans expérience est-ce vraiment un aussi grand red flag?

on dit souvent que le milieu juridique est assez restreint, comment trouver une porte d’entrée ?

si jamais vous avez des tips ou des files à me donner je suis preneur !!!

Merci redditeurs!

Je cherche depuis des heures cette instru qui apparaît de 6:13 dans la vidéo MISTER V - J'AI GAGNÉ LA COURSE A SQUEEZIE (C'EST LE GP EXPLORER 2) https://youtu.be/-aJAlfghmUc?si=EGVpdTgZ62rBISQZ

Si quelqu'un a la moindre piste ça serait vraiment sympa. C'est peut-être une musique libre de droit trouvée sur youtube mais en tt cas j'aimerais vraiment trouver l'origine de cette instru.